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festival "L'Inde à Nîmes"

festival "L'Inde à Nîmes"
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8 mars 2008

"CHANTS SACRÉS DE L'INDE... YOGA DE LA VOIX" stage dans la Drôme, Pâques 2008

Stage résidentiel aux sources de la voix : YOGA DE LA VOIX, CHANT SACRÉ DE L'INDE du vendredi 21 (soir) au lundi 24 mars 2008 Sud de Valence, dans une belle ferme restaurée, avec piscine et parc arboré...

animé par Adam S Callejon et Nathalie Nichanian

Le Yoga de la Voix invite à explorer et élargir nos possibilités vocales, à vivre la voix en liberté, et à expérimenter un véritable massage sonore, régénérant et harmonisant de l'être tout entier. D'abord vécu comme un plaisir, ses effets bienfaisants et immédiatement accessibles favorisent la détente intérieure et un retour à soi indispensable à tout Yoga. au programme : Exercices de développement vocaux, chants sacrés de l'Inde,harmonisation, jeux rythmiques... Séances de postures et relaxation issues du Hatha-Yoga. renseignements et inscriptions : 04 66 60 17 69 ou

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16 octobre 2007

Pepe Linares/ Raghava KK : Performance d'artiste

Chacun connaît à Nîmes Pepe Linares, vibrant chanteur de Flaminco à l'âme burinée comme son Andalousie natale. Raghava KK, lui est LE peintre indien prodige, s'inspirant de la plus vieille civilisation du monde et de sa ville : Bangalore, ville-miracle des nouvelles technologies. Performance en direct, Raghava va peindre le décor et le corps des danseuses de Pepe Linares pendant que le chanteur et ses musiciens exprimeront leur art musical. Entre ces deux artistes et leurs formes artistiques distinctes, un point commun cependant : retrouver les racines des Gitans et de leur danse : l'Inde éternelle. Une création unique et vivante d'une grande force visuelle et esthétique, symbiose de la latinité et de l'indianité : c'est aussi ça la mondialisation ! raghava_photo « Raghava est considéré comme le plus talentueux des jeunes artistes Indiens. Ces toiles sont exposés dans les galeries les plus en vue tant en Inde qu’à l’étranger » (Galerie Artana, Boston). Il est né et vit à Bangalore (il n’a que 27ans). Il a commencé sa carrière artistique en tant que caricaturiste pour le prestigieux « Times of India » ainsi que « Asian Age » et d’autres journaux indiens réputés. Il a fondé une école de dessin appelée « Lee’n Rags Cartoon Academy » en 1998 et a commencé dès cette époque a voyager afin d’exposer ses dessins et d’éduquer tant les enfants que les adultes à l’expression par le dessin. C’est au cours de ces voyages que Raghava a commencé à expérimenter un nouveau vecteur artistique : la peinture. Il a depuis développé sont propre style. Il a reçu récemment la prestigieuse bourse de l’American India Foundation pour laquelle il a présenté en avant-première en Californie son œuvre « Anthropomorphisme : quand les tableaux deviennent danse ». En un mot, Raghava personnifie l’artiste contemporain par sa capacité à exprimer l’esprit du monde d’aujourd’hui : ouvert et universel. Laissez vos commentaires sur le spectacle
15 octobre 2007

« clés de la musique indienne»

Concert pédagogique animé par Adam Simon Callejon Lundi 15 octobre 2007 à 18h au Centre MandalaAdamPortrait4coulG Une approche de la musique Hindustani, des ragas et de leurs déroulements, pour permettre aux oreilles intéressées de découvrir les règles et les subtilités de cette musique savante. Un raga est une combinaison de notes spécifiques, affiliée à l'un des dix modes de la musique classique Hindustani. Les ragas, (qui signifient "saveur, couleur, passion"), sont vivants, ils expriment des sentiments particuliers, allant de la joie à la tristesse, qui diffèrent en nuances et en intensité selon les différentes heures de la journée où ils sont joués. Ils possèdent chacun une atmosphère qui leur est propre, (définie par les notes utilisés), que l'on peut ressentir à leur écoute lors des concerts ou dans la pratique personnelle. Selon les traités de la Sagesse Indienne, le son, en tant que vibration, est la conséquence de la création de la matière. Il est un pouvoir extraordinaire. La science indienne du son est née et a évolué au fil du temps, avec l'homme. Aujourd'hui, ses secrets se sont perdus dans le tumulte du monde. Les Anciens pratiquaient la musique pour sa beauté stimulante, et ses effets apaisants sur le corps et sur l'esprit. Ajoutons qu'à cette époque, le silence était considéré comme partie intégrante de la musique, et qu'il avait toujours le dernier mot. Pour illustrer ses propos, Adam s'accompagnera d'un Esraj (vièle à archet). Les participants seront invités à chanter. Quelques notions rythmiques seront également abordées. Pour mieux apprécier la saveur d'un concert de musique indienne ! stage de chant sacré de l'Inde, Yoga de la Voix, avec Adam les 27 et 28 octobre au centre Mandala >> en savoir plus
13 octobre 2007

Le souhait de Jhyoti à tous les enfants de la Terre

Cérémonie d'ouverture du Festival, vendredi 12 octobre, à la Placette. Paix et la prospérité à tous les enfants de la terre. Je m’appelle Jhyoti, je suis la fille de la Déesse Lumière. Je suis venue partager la vie avec vous. En Inde, dans mon Pays, il y a un jour que nous aimons beaucoup, c'est Diwali... Le jour de la Fête de la Lumière. C'est un jour qui dure toute la nuit... Il n'y a rien de plus simple à célébrer, quelques mots suffisent. Voici ce que ma Mère m'a demandé de vous dire : Enfants de la terre, vous êtes l'éclat de ce monde. Chacun de vous vit pour briller comme un soleil. Il y a une flamme cachée dans nos coeurs, elle brûle depuis toujours. Le vent ne peut pas la souffler, l'eau ne peut pas l'éteindre. Les nuages masquent son éclat, mais ne peuvent l'anéantir. Cette flamme c'est l'espoir et la paix dans nos existences. Elle nous fait aimer ce monde, et fait fuir les ombres terribles que de nombreux hommes sèment partout. Ce soir, nous célébrons la lumière qui bat dans nos coeurs et qui monte jusqu'aux étoiles. Paix et la prospérité à tous les enfants de la terre. Que la flamme de notre Amour devienne un soleil. Que cette lumière éclaire nos chemins. J'invite maintenant les enfants à venir allumer une chandelle, ensuite, nous souhaiterons ensemble, paix et prospérité à tous les êtres vivants. La paix se dit "Shanti”. Maintenant, partageons la lumière et offrons là au “Bonheur”, pour qu'il coule sur la terre. Ce voeu est simple, il vous suffit d'appeler "Shanti" avec moi... Pour les enfants _Shanti ( elle lève la main pour inviter à clamer "Shanti"). Pour les femmes _Shanti! Pour les hommes _ Shanti! Pour les animaux _Shanti! Pour les plantes _Shanti! Pour les rivières, pour la mer, et pour les pierres _Shanti! Pour le ciel et pour la terre _Shanti! Merci, bonne fête des lumières, joyeux Diwali à tous. texte de Adam S Callejon © 2007
12 octobre 2007

rectificatif horaires

Les horaires des stages de danse du dimanche sont bien : 14h/16h Centre Mandala Atelier danse Kathak Avec Sharmila Sharma 16h/18h Centre Mandala Atelier Bollywood Animé par l’Association Namasté Une erreur s'était glissée dans le site. Nous vous présentons nos excuses ! Bon stage !
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11 octobre 2007

Kamal Sabri, virtuose du sarangi

Kamal Sabri (accompagné aux tablas par l'excellent Nabankur Bhattacharya), est un jeune artiste qui maîtrise déjà l'art de captiver son public par son jeu brillant et magnétique... kamal Kamal Sabri Héritier d’une lignée familiale de sept générations de musiciens célèbres, Kamal Sabri, virtuose du Sarangi (vièle traditionnelle à archet), nous emporte sur les routes envoûtantes des ragas de l’Inde du nord. Le son subtil et le jeu exceptionnel de cet artiste font de ses concerts des moments inoubliables. Il est le fils du grand maestro USTAD SABRI KHAN, et porte en lui le riche héritage de la Sania Gharana (lignée, école), tradition à laquelle il a voué sa vie. Kamal a été initié et dirigé par son père dans le style de la Sania Gharana de Rampur dès l’age de 5 ans, et très vite, l’enfant prodige a fait parler de lui dans le monde de la musique classique indienne. Sa musique brillante et son talent d’accompagnateur ont vite été reconnus auprès d’éminents chanteurs classsiques. En Inde, Kamal a participé à de nombreux et prestigieux festivals au fil des années, et il a reçu de nombreux prix. Il apparaît régulièrement dans les programmes classiques des radios nationales de son pays, ainsi qu’à l’étranger. Il a imprimé son style dans de grands festivals nationaux et internationaux comme l’ "Art of the Bow" de Geneve, en Novembre 2001, ou le Concert du Millénaire pour la Convention Internationale en Grande-Bretagne. Il a eu le privilège d’être le plus jeune artiste indien à participer aux « 24h du Raga » à Paris en l’an 2000. A cette occasion, il a su charmer son public en jouant dans 9 concerts en tant qu’accompagnateur, avec son père, des plus grand artistes vocaux. Il a joué avec les plus grand musiciens de son pays, comme Zakir Hussein, Fateh Ali Khan, Jan Garbarek. Il a même enregistré pour des groupes de musique actuelle comme Massive Attack. Cet artiste polyvalent est aussi compositeur pour des musiques de films, documentaires, spectacles de danse… Il continue d’explorer le vaste royaume des musiques du monde tout en restant fidèle à la pureté de la tradition de la musique classique indienne. Son instrument, le sârangî sarangi Signalé dès le 16ème siècle comme instrument populaire, le sârangî fit son apparition à la cour de Mohammad Shah II (1719-1748), à l’apogée du chant classique khyal. Issu du terme saurangi (littéralement « mille couleurs »), le sârangî est le principal instrument à archet de l’Inde. Le sârangî accompagne à merveille le chant dans la musique de l’Inde du Nord (chez les Langas du Rajasthan notamment). La sonorité émouvante du sarangi s'apparente au timbre de la voix et s'impose d'emblée comme l'instrument de prédilection pour accompagner le chant. Il demeure longtemps le compagnon de route de bardes itinérants qui sillonnent les quatre coins de l'Inde. Très prisé des milieux aristocratiques dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, puis délaissé par la société anglo-indienne, le sarangi, instrument difficile à maîtriser, a retrouvé sa fonction d'accompagnement auprès des chanteurs de Khyal et depuis un demi siècle environ, est devenu un instrument soliste à part entière. Enfin, sachez que Kamal vient tout spécialement de Delhi pour ce concert, qui aura lieu samedi 13 octobre à 20h30 à l'auditorium du lycée Daudet... Laissez vos commentaires sur le concert
11 octobre 2007

Danse Kathak : Sharmila Sharma

Accompagnée de Kakoli (chant), Prabhu Edouard (tablas), Michel Gray (sitar). sharmilaNB Née à Jaipur, Sharmila Sharma est issue d’une famille d’artistes. Son père est musicien et chanteur folklorique, sa mère est une danseuse émérite de Kathak et de danses folkloriques. Son premier passage sur scène, à l’âge de trois ans, eut lieu dans le cadre d’un concours de danse. Sa prestation éblouit tout l’auditoire, et elle gagna le premier prix. Après un apprentissage des danses folkloriques du nord de l’Inde et du Kathak, auprès de sa mère Tara Sharma, Sharmila intègre le célèbre institut Kathak Kendra de New Delhi, où elle apprend également le chant hindoustani et les tablas. Sharmila devient danseuse professionnelle à l’âge de quatorze ans, et dès lors se produit dans de nombreux festivals nationaux et internationaux. Elle s’installe à Paris en 1993, et commence à donner des cours de Kathak au Centre Mandapa. Elle dirige également des stages, et se produit régulièrement sur scène. Artiste infatigable, elle partage actuellement sa carrière entre l’Europe et l’Inde, et ses performances séduisent autant les connaisseurs de son art que le grand public. A propos du Kathak… Le Kathak est la forme de danse classique dominante dans le nord de l’Inde. Le mot Kathak dérive du mot « Katha », l’art de raconter une histoire. L’expression « Katha Kahe so Kathak » signifie que quiconque raconte une histoire, en dansant et chantant est un Kathak. Les mouvements des mains (mudras), et du corps, combinés aux expressions faciles (abhinayas), étaient utilisés pour narrer une histoire, accompagnés de musique et de chant. Ainsi naquirent le Kathak et les Kathakars. A l’origine, les Kathakars racontaient des histoires mythologiques (harikatha) dans les Temples Hindous du Nord de l’Inde. Il ne fait donc nul doute que leur art était profondément imprégné de spiritualité, religion, et philosophie hindoues. La connaissance des Kathakars – compositions et chorégraphies – se transmettait oralement de génération en génération. Entre le 12e et le 18e siècle, le Kathak était pratiqué dans les somptueux palais des Empereurs Moghols, mais aussi avant dans les cours des Maharajas Hindous. Du statut d’art totalement dévotionnel, le Kathak devint une danse de cour, un agrément destiné au loisir de puissants Seigneurs. Il s’enrichit alors considérablement, puisant des éléments de la culture persane, et évoluant ainsi en accord avec l’esthétique de la culture musulmane. La forme de Kathak que nous connaissons aujourd’hui remonte à l’ère moghole, période pendant laquelle les expressions et gestes gagnèrent en subtilité. Les artistes étaient en effet capables de dépeindre un sujet de différentes façons, chacune ayant un large éventail de nuances. La danse pure (nritta) devint plus sophistiquée et rapide, le rythme, els mouvements et pirouettes plus complexes. De nos jours, le Kathak est la seule forme de danse classique indienne qui présente une forte symbiose entre les cultures hindoues et musulmanes. Laissez vos commentaire sur le spectacle
11 octobre 2007

Les Gitans Dhoad du Rajasthan

Spectacle folklorique avec charmeurs de serpents, cracheurs de feu, musiciens et danseurs…. dhoads Les Dhoad viennent du désert du Rajasthan, au Nord-Ouest de l'Inde. Les Gitans Dhoad du Rajasthan proposent une musique subtile, ethnique et spirituelle aux confluents des cultures gitanes, hindoues et musulmanes un mélange qui n’est pas sans rappeler la musique sacrée du Pakistan. Cette terre fut le royaume des Empereurs, des Maharajas et de leur cour. Le désert du Thar est aussi le berceau des gitans, et celui de nombreux troubadours et musiciens, allant de ville en ville divertir les Princes et les courtisans. Une terre aux traditions spirituelles et musicales. La transmission de l'art se fait de père en fils depuis des générations. Les Gitans Dhoad du Rajasthan se produisent dans le monde entier. Rahis Bharti (le directeur artistique) fait partie d'un orchestre international du monde, siégeant à Rome (orchestra de piazza Victorio). Son groupe est composé de cinq musiciens, une danseuse Sapera et un fakir : Amrat Hussain et Rahis Bharti (tablas et dholak, tambour horizontal à deux peaux). Bilal Khan (chants, castagnettes appelées kartels). Ghulam Ali (harmonium portatif et chants). Gopal Singh (harmonium portatif, chants, double flûte, pungi, utilisé pour charmer les serpents). Un Fakir Munshi (cracheur de feu, acrobatie sur du verre brisé, équilibre sur tapis de clous...) performances et magies extraordinaires ! Une danseuse sapera, Kamla Kumari, qui présente les plus belles danses du Rajasthan (gitane du Rajasthan effectuant des acrobaties et exprimant des chorégraphies à thèmes mythologiques comme celui du cobra, gardien des vérités spirituelles). Ces chanteurs et musiciens dégagent une atmosphère aux différentes couleurs du Rajasthan. Laissez vos commentaires sur le spectacle
6 octobre 2007

Indice n° 7

"À l'est de Nîmes, ce lieu de culture fédère plusieurs quartiers de Nîmes."
5 octobre 2007

Indice n° 6

"Ce lycée porte le nom d'un écrivain né à Nîmes, célèbre pour ses contes méridionaux.
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